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Lucia in the sky ou comment le BIA donne des ailes

Par slm admin, publié le mardi 1 juillet 2025 06:42 - Mis à jour le mardi 1 juillet 2025 06:44
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Voici le témoignage d’une élève qui a participé au Bia et obtenu son diplôme. Elle a pu participer à un vol en tant que pilote sous la formation de destructeur.

Voici le témoignage d’une élève ayant participé au BIA. Cette année, elle a obtenu son diplôme ainsi que huit autres élèves et a donc participé à un baptême de l’air en tant que pilote sous la responsabilité d’un instructeur.. 

 

Je m’appelle Lucia Couvreur. Pendant mon année de 4°ème au Collège Jeu de Mail 2024-2025 j’ai suivi les cours de BIA. Dans ces cours, j’ai appris beaucoup sur les avions et sur l’histoire de l’aéronautique. Il y a eu des fois où j’ai eu du mal à suivre à cause des nombreux termes techniques que l’on apprend, mais j’ai continué jusqu’à la fin. A la fin de l’année, il faut passer un examen sur les connaissances apprises durant l’année. Si vous réussissez à l’examen, vous avez la possibilité de piloter un avion ! Un petit bien sûr. C’est ce que j’ai pu faire et cela a été une expérience magique et unique. 
Tout le monde à l’aérodrome était très accueillant. Avant de monter dans l’avion, j’avais un peu peur, mais je crois que c’était juste de l’émotion ! Il faut dire que j’ai eu l’opportunité de piloter un avion avant de conduire une voiture ! 
Dans le vol, c’est le pilote qui s’est chargé de faire le décollage et l’ atterrissage. Puis il m’a donné la commande de l’avion, et c’est moi qui a décidé où on allait. J’ai pu voler pendant une demie heure. Au début du vol, j’étais un peu effrayée car j’avais peur d’abimer l’avion ou un truc du genre. Mais c’était juste le temps de m’habituer. Il y a eu quelques turbulences pendant le vol, mais j’ai trouvé cela amusant ! Sans oublier que la vue depuis l’avion est formidable : d’un côté, il y a les montagnes, de l’autre, la mer, et entre les deux, la ville !
Après le vol, je suis allée faire de la simulation. C’est-à-dire que j’ai piloté un avion virtuel. Cela aussi était chouette mais j’ai quand même préféré le vrai vol. 
Moi, je ne veux pas forcément être pilote quand je serai grande, mais j’ai trouvé que cela serait une opportunité unique pour découvrir quelque chose de nouveau, je vous le conseille vivement! De plus, le métier de pilote n’est pas que pour les hommes. Il faut encore lutter contre les stéréotypes de genre. Le vol est à toutes et à tous !
Lucia Couvreur